Dimanche 9 mai 2021 / 20h00
Théâtre des Champs-Élysées

L’AMOUR, LA MORT, LA MER

Patricia Petibon, soprano
Susan Manoff, piano
David Venitucci, accordéon

En application des dernières mesures de confinement, le Théâtre des Champs-Elysées se voit dans l’obligation d’annuler toutes les représentations programmées jusqu’au 12 mai prochain. Les Caisses du Théâtre sont fermées mais le Service des relations avec le public se tient à votre disposition par téléphone au 01 49 52 50 50 (du lundi au vendredi de 14h à 18h) ou par mail à rp@theatrechampselysees.fr

JOHANN SEBASTIAN BACH
« Ich ruf’ zu Dir Herr Jesu Christ » – transcription pour piano solo de Ferruccio Busoni

SAMUEL BARBER
« Crucifixion »

NICOLAS BACRI
« All through Eternity »
Melodías de la Melancolía, « A la mar », op. 119 n°1

ERIK SATIE
« Idylle » (piano solo)

GABRIEL FAURÉ
« Au bord de l’eau »

JOHN LENNON
« Oh my love »

JOAQUÍN RODRIGO
« Adela »

YANN TIERSEN
« Lok Gweltaz »
« Yuzin »

GABRIEL FAURÉ
Trois mélodies, op. 23, « Les Berceaux »

JEAN CRAS
« La Rencontre »

ARIEL RAMIREZ Y FÉLIX LUNA
« Alfonsina y el mar »

FRANCIS POULENC
Banalités, « Sanglots »

YANN TIERSEN
« Porz Goret » (piano solo)

ENRIQUE GRANADOS
La maja dolorosa, « Ay ! Majo de mi vida »
Tondillas, « El mirar de la maja »
La maja dolorosa, « De aquel majo amante »

AARON COPLAND
« Piano Blues n°3 » (piano solo)

 ROBERT BASKA
« Heart, we will forget him »

THIERRY ESCAICH
« Le chant des lendemains »

 ERIK SATIE
« Méditation, à Albert Roussel » (piano solo)

FRANCISCO MIGNONE
« Dona Janaína »

FREDERIC WEATHERLY
« Danny Boy »

GABRIEL FAURÉ, « Les Berceaux » (Patricia Petibon et Susan Manoff – Figaro Live, 2014)

NOUVEAU CD :
« L’amour, la mort, la mer »
Paru le 14 février 2020
(Sony Classical)

L’amour, la mort, la mer sont les escales d’un voyage au cours duquel chacun de nous s’aventure au fil de sa courte vie. Tels la baleine blanche, nous fendons les flots avec un œil mélancolique et poétique, questionnant l’odyssée de nos états d’âme : mer qui nous console, mère qui nous enlace ou nous fracasse contre l’écueil, réduisant nos chagrins en écume. Tout comme Ulysse qui regarde le rivage s’éloigner pour embrasser l’inconnu, nous nous immergeons dans une incarnation sonore, simple et nostalgique, en quête de sens.
À ceux qui nous ont aimés, qui nous ont quittés, que nous aimons et que nous aimerons, à ceux qui se sont ancrés aux abysses de nos cœurs.

5 – 10 – 28 – 40 – 55 – 75 €

fr-fr.facebook.com/PatriciaPetibon.soprano