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Jeudi 20 février 2014 / 20h00
Théâtre des Champs-Elysées

Ermonela Jaho, soprano
Thiago Arancam, ténor
Àngel Òdena, baryton
Marcello Scuderi, récitant
Orchestre National de France
Chœur de Radio France
Luciano Acocella, direction

PUCCINI RARE

Puccini
Le Villi (version de concert – italien, surtitrage français)

Leoncavallo
Pagliacci, Prologo – « Vesti la giubba » – Intermezzo
Boito
Mefistofele, « L’altra notte in fondo al mare »
Mascagni
Cavalleria rusticana, « Mamma, mamma! Quel vino è generoso »
Cilea
Adriana Lecouvreur, « Poveri fiori »

Une distribution totalement en phase sert cet opéra de jeunesse de Puccini, Le Villi, une fresque dramatique d’une tension fascinante.
L’histoire se déroule dans un petit village de la Forêt Noire où Roberto et Anna Wulf viennent de célebrer leurs fiançailles. Roberto doit aller à Mayence, pour y toucher un héritage. Mais il oublie vite son amour de jeunesse et se laisse séduire par une autre femme. Anna finit par en mourir de douleur.
Pris de remords mais ignorant le destin tragique d’Anna, Roberto retourne au village. Anna fait maintenant partie des villi, ces créatures maléfiques qui se vengent de leurs fiancés infidèles en les faisant danser jusqu’à la mort. Roberto ne fera pas exception.
Ermonela Jaho, tragédienne hors pair que l’on connaît déjà bien à Paris et Thiago Arancam, jeune ténor d’origine brésilienne au timbre de bronze et de velours seront accompagnés par les brillantes formations de Radio France, l’Orchestre National de France et le chœur de Radio France.

Paolo Carignani ne pouvant plus participer au concert pour des raisons personnelles, Luciano Acocella a accepté de le remplacer et nous l’en remercions.

5-10-30-55-74-95 €

www.ermonelajaho.com/‎‎‎
thiagoarancam.com/
www.angelodena.com/

Ermonela Jaho interviewée par Tutti Magazine:
www.tutti-magazine.fr/news/page/Ermonela-Jaho-Soprano-Vestale-Theatre-Champs-Elysees-Suor-Angelica-Royal-Opera-House-fr/

Voir :

Verdi, La Traviata, « E strano… Ah! Fors’è lui… Sempre libera » (Ermonela Jaho)

Leoncavallo, Pagliacci, « Vesti la giubba » (Thiago Arancam)