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Vittorio Grigolo

By 16 janvier 2012avril 25th, 2016Saison 2011/2012, saisons passées

Lundi 16 janvier 2012 / 20h00
Théâtre des Champs-Elysées

Vittorio Grigolo, ténor
Carmen Giannattasio, soprano
Daniele Bonarivi, guitare
Orchestre Lamoureux
Keri-Lynn Wilson, direction

 

Airs d’opéras italiens
Donizetti/Salvi
Il Duca d’Alba, « Angelo Casto e bel »
Verdi
Il Corsaro, « Tutto parea sorridere… Sì, di Corsari il fulmine »
Puccini
La Bohème, « Che gelida manina », « Mi chiamano Mimi », « O soave fanciulla »
Tosca, « E lucevan le stelle »
Donizetti
L’elisir d’amore, « Una furtiva lagrima »

Mélodies populaires italiennes
Leoncavallo, “Mattinata”
De Curtis, “Non ti scordar di me”, « Torna a surriento »
Rossini, “La danza”
Di Lazzaro, “Chitarra Romana”
Rascel, “Arrivederci roma”
Tagliaferro/Valente, « Passione »
D’Annibale, « O paese do sole »
Cardillo, “Core n ‘grato”
Dalla, “Caruso”

 


Album Arrivederci disponible
le 19 septembre 2011 (Sony Classical)

Premier récital en France de Vittorio Grigolo

Le New York Times a encouragé Vittorio Grigolo dès ses débuts au Met dans La Bohème en le hissant au rang de grand espoir, puis ce fut au tour de Covent Garden avec le rôle de Des Grieux dans Manon en compagnie de la soprano Anna Netrebko. Depuis, Londres ne le lâche plus. Cet automne, il y a incarné le rôle-titre de Faust (avec Angela Gheorghiu) et Alfredo Germont avant Roméo et Juliette à Los Angeles sous la direction de Placido Domingo et Les Contes d’Hoffmann à Zurich.

En France, pour celles et ceux qui n’ont pas eu la chance d’entendre et de voir Vittorio Grigolo cet été à Orange, ce premier récital dans la série des Grandes Voix est une formidable occasion de se rattraper ! Pour celles et ceux qui le connaissent à l’opéra ou au disque (dernière parution chez Sony : « Arrivederci »), c’est le moment de faire plus ample connaissance.
La soirée se présente comme un hommage implicite aux grands ténors du passé mais surtout comme une grande et très personnelle déclaration d’amour à la musique de son pays, l’Italie. Entre une sélection d’airs issus des grands rôles qui jalonnent sa carrière (Rodolfo, Nemorino, Mario Cavaradossi…) et des chansons traditionnelles du siècle dernier qu’il côtoie depuis son enfance à Rome, Vittorio Grigolo nous parle de sa propre histoire.
Avec un physique de jeune premier, une voix claire, solaire, séduisante, le bel canto, chez le ténor, rayonne avec un naturel confondant.

Dans la lignée de Roberto Alagna, Juan Diego Flórez, Rolando Villazón, Joseph Calleja, et Jonas Kaufmann, la série Les Grandes Voix propose les débuts en récital de Vittorio Grigolo à Paris. Un « nouveau » grand ténor à suivre dans la série.

5-10-30-55-74-95€

www.vittoriogrigolo.com/

 Voir :

Giuseppe Verdi, La Traviata, « Oh mio rimorso! »

 

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