Dimanche 14 mai 2017 / 20h
Théâtre des Champs-Élysées

Natalie Dessay, soprano
Philippe Cassard, piano

FRANZ SCHUBERT
« Geheimes » D719 (Goethe)
« Die Junge Nonne » D828 (Craigher)
« Lied der Mignon » D877 (Goethe)
« Suleika » D720 (Goethe)
« Gretchen am Spinnrade » D118 (Goethe)

« Der Hirt auf dem Felsen »
(« Le Pâtre sur le rocher ») D945 (Müller/Chezy)
avec Thomas Savy, clarinette

HANS PFITZNER
Alte Weisen op.33
« Mir glänzen die Augen »
« Ich fürcht’ nit Gespenster »
« Du milchjunger Knabe »
« Wandl’ ich in dem Morgentau »
« Singt mein Schatz wie ein Fink »
« Röschen biss den Apfel an »
« Tretet ein, hoher Krieger »
« Wie glänzt der helle Mond »

ERNEST CHAUSSON
« Chanson perpétuelle » (Cros)
GEORGES BIZET
« Adieux de l’hôtesse arabe » (Hugo)

CLAUDE DEBUSSY
2 préludes pour piano :
« La Fille aux cheveux de lin »
« Ondine »
2 mélodies :
« Regrets »
« Coquetterie posthume »

CHARLES GOUNOD
Faust, Air des Bijoux

Présentation de l’album Schubert, paru le 28 mars 2017 chez Sony Classical

Fiançailles pour rire (Erato, 2015)
Natalie Dessay et Philippe Cassard, Schubert (Sony Classical)

Au programme de ce nouveau récital en duo de Natalie Dessay et Philippe Cassard, du lied allemand, de la mélodie française et une immense complicité musicale. Il y a quatre ans, ils avaient gravé un premier programme Debussy. Trois ans plus tard, ils récidivent avec un second volume joliment intitulé « Fiançailles pour rire » où ils s’adonnent avec bonheur à la mélodie française (Chausson, Chabrier, Duparc, Fauré, Poulenc). Parallèlement, ils explorent le lied allemand qu’ils abordent en récital avant, n’en doutons pas, l’arrivée d’un troisième opus discographique. Leur récital de cette saison reflète cette double aventure avec des pièces de Schubert, Schumann et de la mélodie française. Nul doute que ces deux-là sauront une nouvelle fois trouver la vérité au sein de chaque mot et leur rendre leur dimension tant poétique que musicale.

5-10-30-45-65-85 €