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Lundi 7 novembre 2011 / 20h00
Salle Pleyel

Joseph Calleja, ténor
Ludovic Tézier, baryton
Orchestre National d’Île-de-France
Frédéric Chaslin, direction

 

Verdi
La Force du destin, Ouverture
Un Bal masqué, « Alzati, là tuo figlio… Eri tu che macchiavi quel’ anima » – « Forse la soglia attinse… ma se me forza perderti »
Rigoletto, « Cortigianni, vil razza dannata… »
Don Carlo, « O Carlo, ascolta »
Luisa Miller, « Oh fede negar potessi…Quando le sere al placido »
Puccini
La Bohème, « O Mimi tu più non torni »
Tosca, « E Lucevan le stelle »
Manon Lescaut, Intermezzo
Gounod
Roméo et Juliette, « Ah! Lève-toi, soleil! »
Massenet
Werther, « Pourquoi me réveiller »
Bizet
Djamileh, Ouverture
Les Pêcheurs de perles, « L’orage s’est calmé » – « Au fond du Temple Saint »

BIS:
« O sole mio » (J. Calleja)
Mozart, Don Giovanni, « Finch’han dal vino » (L. Tézier)
Massenet, Werther, « Pourquoi me réveiller » (J. Calleja et L. Tézier)

 

Ils se sont rencontrés l’an dernier sur la scène du Metropolitan Opera pour une production de Lucia. Les Grandes Voix les réunissent pour la première fois ensemble en récital.

Joseph Calleja est un ténor à (re)découvrir en France. Invité dans la série Les Grandes Voix pour ses débuts en 2007 aux côtés de la soprano Patrizia Ciofi, il a fait du chemin depuis, et sa voix également. Désormais confirmé comme star lyrique du label DECCA, sous lequel vient de paraître son nouvel opus The Maltese Tenor, il est le prochain Faust du Met cette saison, mais aussi Edgardo (Lucia) à Berlin, Rodolfo (La Bohème) à Covent Garden.
Pour le baryton Ludovic Tézier, c’est une grande première et l’occasion rarissime d’entendre à Paris et en récital cet artiste aguerri aux scènes internationales d’opéra les plus prestigieuses. Le baryton a déclenché l’enthousiasme du public et de la critique dans le rôle de Germont (La Traviata) lors de la dernière édition du Festival d’Aix-en-Provence ; il achève actuellement une série de Faust au Liceu (rôle de Valentin) et sera prochainement Wolfram dans la production viennoise de Tannhäuser.

Airs solos captivants, duels ennemis, duos complices, du drame noir de Verdi à l’état de grâce de Bizet, en passant par Tosca ou La Bohème, Werther ou Roméo et Juliette,… et la perspective d’une grande soirée lyrique, intense et pimentée.

10-30-45-65-85€

www.josephcalleja.com/

 

Voir :

Giacomo Puccini, Tosca, « E lucevan stelle »Joseph Calleja

 

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