Mardi 12 novembre 2013 / 20h00
Opéra Royal du Château de Versailles
Angela Gheorghiu, soprano
Atalla Ayan, ténor
Bohuslav Martinu Philharmonic Orchestra
Tiberiu Soare, direction
DIVA ASSOLUTA
Airs et duos d’opéras français et italiens
Verdi
Oberto, Ouverture (orchestre)
Haendel
Serse, « Frondi tenere… Ombra mai fu » (A. Gheorghiu)
Verdi
La Traviata, « Parigi, o cara » (A. Gheorghiu/A. Ayan)
Dvorak
Rusalka, « Chant à la lune » (A. Gheorghiu)
Puccini
La Bohème, « Che gelida manina » (A. Ayan)
Verdi
Otello, Ballabile – Acte III (orchestre)
Gounod
Roméo et Juliette, « Va, je t’ai pardonné » (A. Gheorghiu/A. Ayan)
—
Verdi
Giovanna d’Arco, Ouverture (orchestre)
Donizetti
L’elisir d’amore, « Caro elisir… Esulti pur la barbara » (A. Gheorghiu/A. Ayan)
Gounod
Faust, « Salut demeure chaste et pure » (A. Ayan)
Catalani
La Wally, « Ebben? Ne andrò lontana » (A. Gheorghiu)
Bizet
L’Arlésienne – Suite n°2, Farandole (orchestre)
Puccini
La Bohème, « O soave fanciulla » (A. Gheorghiu/A. Ayan)
Angela Gheorghiu est une star. Grande voix, grande diva, elle incarne dans le monde entier tous les plus beaux rôles lyriques de soprano, fait rêver, arrache les larmes du public avec Mimi, Juliette, Butterfly, Tosca et bien sûr Traviata. Si l’on peut arriver à voir la soprano sur les scènes d’opéra, ou encore au cinéma grâce à Benoît Jacquot, l’entendre en récital est une vraie rareté – on ne l’a plus applaudie à Paris depuis 2006 à la Salle Pleyel : lorsque, ce soir-là, le courant s’éteignit durant l’ultime bis, la soprano roumaine seule illumina l’auditoire.
Dans ce premier récital versaillais, les opéraphiles seront servis entre le florilège du grand opéra français et le feu italien.
90-150-200-295-350 €
Coproduction Universal Music Arts & Entertainment / Céleste Productions – Les Grandes Voix, en accord avec Château de Versailles Spectacles
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